Il y a d’un côté le dossier médical informatique qui doit éliminer le papier, de l’autre la gestion des risques avec ses méthodes d’analyse et de formation. GYNERISQ a souhaité dynamiser conjointement l’un et l’autre en les traitant ensemble dans le logiciel associatif de la profession MedyCS/GYNELOG.
C’est un travail technique central coopératif de programmation par les associations GYNELOG et GYNERISQ. C’est aussi un travail d’appropriation du paramétrage site par site qui renforce la productivité de l’accréditation d’équipe. Mais c’est un problème juridique d’acceptation par les administrations de nos établissements quand elles interdisent une inter-opérabilité entre le logiciel médical commun de l’établissement et notre logiciel métier pour nos actes au bloc qui ont des besoins spécifiques. Elles sentent que le rapport de force les autorise à bafouer notre indépendance professionnelle. Quand nos confrères renoncent ainsi à défendre leur indépendance professionnelle tout en gardant l’intégralité de leur responsabilité civile et pénale, savent-ils le chemin de régression sur lequel leur gentillesse et leur désir d’apaisement les laissent conduire ?
L’étude juridique de cette évolution est publiée dans la revue universitaire JDSAM_16-03-2018
Syndicalement vôtre,
Jean MARTY